Responsabilité sociétale des entreprises (RSE), marque employeur, engagement solidaire, innovation sociale,… Mon regard de communicante engagée. Welcome !
Le secteur à but non lucratif a un rôle majeur à jouer pour « changer le monde ». Il est par ailleurs admis par tous, que l’engagement solidaire est profitable à l’ensemble de la société. Pourtant nous avons tendance à travers notre vision, à placer le secteur en situation désavantageuse par rapport au secteur à but lucratif.
En un an, le nombre de télétravailleurs a grossi de 700 000, selon une étude publiée par Malakoff Médéric – Humanis. Les télétravailleurs représentent ainsi 5,2 millions de personnes. Le télétravail se démocratise et c’est une bonne nouvelle. Pour les salariés, les entreprises… mais surtout pour les acteurs de l’Economie Sociale et Solidaire !
Seulement 28 % de salariés se sont déclarés comme très engagés dans leur entreprise en 2016 vs 41 % en 2009. Face à l’ampleur du problème, il devient urgent de recréer cet engagement et réenchanter l’expérience des collaborateurs. Comment ? En décloisonnant et en réinjectant du sens dans l’entreprise…
« La réussite appartient à ceux qui se lèvent tôt » à en croire Hal Elrod, l’auteur du livre à succès « Miracle Morning ». Cela ne vous a pas échappé, beaucoup de dirigeants ont une « morning routine ». Une forme d’organisation qui permettrait d’être plus performant et épanoui. Mais cette quête perpétuelle de performance est-elle vraiment source de bonheur ?
La rencontre du digital et l’entrepreneuriat social a donné naissance à de multiples innovations pour améliorer nos quotidiens et répondre à des enjeux de société majeurs. Pourtant, malgré l’impact et les innovations sociales réalisées au fil des années, cette collaboration ne semble toujours pas aller vraiment de soi pour les start-ups Tech.
Il y a quelques années, de nombreuses entreprises ne voyaient pas l’intérêt ou éprouvaient des difficultés à impliquer ou engager leurs collaborateurs sur des actions d’intérêt général. Les choses ont bien évolué depuis, elles sont de plus en plus nombreuses à percevoir les effets positifs de telles collaborations.
Les entreprises tendent à développer ces dernières années leur engagement en matière de responsabilité sociétale ou environnementale. Si on peinait par le passé à identifier le bon interlocuteur sur ce sujet (Dircom, DRH, dirigeant…?), de nouveaux profils, spécifiquement en charge de la politique RSE, fleurissent en entreprise. Est-ce vraiment une bonne idée ?
L’entreprise « libérée » est un sujet qui fait beaucoup débat. Associée aux questions de motivation, de sens ou encore de bien être au travail, elle est pour beaucoup un levier clé de performance en entreprise. Mythe ou réalité ? Commençons déjà par définir ce qu’est une entreprise « libérée »…
Au croisement du partage, de l’innovation, de la RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises), des ressources humaines… la communication interne est en pleine mutation. La communication descendante « de papa » telle qu’on la pratique depuis des années ne peut selon moi perdurer.
La RSE (Responsabilité Sociale des Entreprises) ne devrait pas avoir de service dédié cloisonné, mais bien être prise en compte dans tous les services de l’entreprise, y compris la communication. La condition de sa réussite ? Intégrer la RSE à la stratégie de communication globale pour assurer une cohérence des différents messages émis par l’entreprise.
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